Cher lecteur, comme la plupart des hommes, vous avez certainement quelque inquiétude concernant l'état actuel du monde dans lequel nous vivons. Une question surgit parfois : s'il y a un Dieu, pourquoi laisse-t-il le mal impuni, pourquoi n'intervient-il pas au milieu de tant de souffrance, d'injustice?

Lequel voulez-vous ?

Cette question, qui va être répétée plusieurs fois, nous ramène à un fait unique, qui a eu lieu il y a longtemps. Les hommes l'ont peut-être oublié, mais ses conséquences subsistent et Dieu vous le rappelle aujourd'hui.

Il y a deux mille ans, les hommes - autorités civiles, religieuses, une foule - ont choisi. D'un côté, Barabbas criminel, rebelle, meurtrier, qui attendait en prison le jour de son exécution. De l'autre côté, le Christ, le Fils bien-aimé du Père, qui avait été de lieu en lieu faisant du bien, le seul Juste que la terre ait porté.

 

Lequel voulez-vous ?

Barabbas ou Jésus qui est appelé Christ ?

«.., Lequel voulez-vous que je vous relâche ? Et ils dirent : «Barabbas»... Que ferai-je donc de Jésus qui est appelé Christ ?... Qu'il soit crucifié... Mais quel mal a-t-il fait ?... Qu'il soit crucifié... Que son sang soit sur nous et sur nos enfants » (Matthieu 27, 17-26). Le brigand relâché court toujours : violence et corruption sévissent. Le monde est coupable de la mort du Fils de Dieu.

Un jour terrible de rétribution attend ceux qui se sont rangés du côté des foules en rejetant le Sauveur. Dieu exercera sa vengeance, son jugement se déversera bientôt sur ce monde. En attendant, dans toute la chrétienté, on voit des croix qui rappellent de quelle mort mourut le Sauveur. Dieu ne veut pas que la mort de son Fils soit oubliée.

Aujourd'hui encore, dans sa grande patience, il appelle les hommes à se repentir, « ou méprises-tu les richesses de sa bonté et de sa patience et de sa longue attente, ne connaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ?» (Romains 2, 4). Reconnaître humblement devant Dieu notre culpabilité, confesser nos péchés c'est trouver le pardon qu'il offre par Jésus Christ. Croire au Seigneur Jésus, c'est croire à son sacrifice sur la croix, c'est croire à l'efficacité de son sang qui purifie de tout péché. Croire au Seigneur Jésus, c'est croire au Fils de Dieu, c'est avoir la vie éternelle. « C'est ici le témoignage: que Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils: Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5, 11 et 12).

Lequel voulez-vous ?

Écouter la voix de Dieu, croire la Parole de Dieu, la Bible ?

ou

Écouter la voix du séducteur, du menteur ?

Accepter le Seigneur Jésus Christ dans son cœur, c'est se tourner «des ténèbres à la lumière, et du pouvoir de Satan à Dieu», c'est recevoir le pardon des péchés (Actes 26, 18). C'est aussi échapper au jugement qui va venir sur ce monde (1 Thessaloniciens 1, 10) et au jugement éternel (Jean 5, 24; Hébreux 6, 2). C'est posséder une bienheureuse espérance (Tite 2, 13).

 

Lequel voulez-vous ?

Une secte, une religion nouvelle, garder des traditions ? Jouir de la vie, ne pas penser à l'avenir, continuer de vous persuader que vous n'êtes pas plus mauvais que vos semblables, c'est-à-dire penser que vous êtes juste ?

Non, le christianisme, c'est avant tout une Personne. J'ai besoin de quelqu'un qui soit capable de me comprendre, de m'aimer, de me secourir, de me conduire, de me donner une raison de vivre. Le vrai chrétien peut chanter : « Pour moi, j'ai mon Sauveur ; Il suffit à mon cœur. En son amour je me confie ».

Lequel voulez-vous ?

Aujourd'hui, une porte ouverte : « Je suis la porte [dit Jésus]: si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé » (Jean 10, 9).

Demain, une porte fermée: « Et la porte fut fermée... Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! Mais lui, répondant, dit : En vérité, je vous dis: je ne vous connais pas » (Matthieu 25, 10-12).

De quel côté serez-vous ?

Encore une fois nous vous demandons : lequel voulez-vous?

Pendant l'éternité avec lequel serez-vous ? Avec le Seigneur Jésus ou avec le meurtrier ?

Avertissement

« Qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui » (Jean 3, 36).

« Quant aux timides, et aux incrédules... aux meurtriers, et aux fornicateurs, et aux magiciens, et aux idolâtres, et à tous les menteurs, leur part sera dans l'étang de feu et de soufre, qui est la seconde mort » (Apocalypse 21, 8).

Promesse du Seigneur Jésus à un brigand repentant :

«Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis» (Luc 23, 43).

Prière du Seigneur:

« Père, je veux, quant à ceux que tu m'as donnés, que là où moi je suis, ils y soient aussi avec moi, afin qu'ils voient ma gloire, que tu m'as donnée » (Jean 17, 24).