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« Dans les derniers jours il surviendra des temps fâcheux » (2 Timothée 3, 1).
« L'esprit de l'antichrist... il vient, et déjà maintenant il est dans le monde » (1 Jean 4, 3).
« De faux docteurs... introduiront furtivement des sectes de perdition » (2
Pierre 2, 1).
« L’insensé a dit dans son coeur : Il n'y a point de Dieu » (Psaume 53, 1).
« Des moqueurs viendront... disant : Où est la promesse de sa venue ? » (2
Pierre 3, 3, 4).
Toutes ces expressions sont tirées de la Bible qui a prédit bien à
l'avance l'état de confusion que connaît le monde,
et la fin de toutes choses.
La plupart de nos contemporains sont inquiets. Le constat des
horreurs relatées chaque jour dans les médias amène plusieurs à nier
l'existence de Dieu.
Le monde actuel souffre d'oppression, de frustration, d'injustice.
Certains idéologues ont rejeté la faute sur d'autres, profiteurs ou
capitalistes, les rendant responsables de la misère actuelle. On a cru
trouver le salut en renversant leur système et en se désintoxiquant de tous
les mythes de la religion. Partout où ce principe a été appliqué, la misère
est devenue encore plus grande. Ce n'est pas dans le système que se trouve le
plus grand mal, mais dans le coeur humain.
Des personnes bien intentionnées travaillent actuellement au
rapprochement et à l'acceptation de toutes les religions. Elles aspirent à
une communauté mondiale qui embrasserait les peuples de toutes cultures,
races et religions, de façon qu'il n'y ait plus de fossé, ni de division. En
même temps surgissent ici et là les manifestations d'un fanatisme dont les
conséquences sont souvent dramatiques.
Dans un temps qui n'est peut-être pas très lointain, cette communauté
économique et religieuse verra le jour sous la dictature d'un chef despotique
qui persécutera ceux qui ne veulent pas se soumettre. Et l'antichrist, par
des miracles, séduira les habitants de la terre et se présentera « lui-même
comme étant Dieu » (2 Thessaloniciens 2, 4).
L’esprit de l'antichrist opère déjà de nos jours. « Qui est le menteur,
sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l'antichrist, qui
nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père; celui
qui confesse le Fils a aussi le Père » (1 Jean 2, 22, 23).
Aujourd'hui, de plus en plus de personnes croient à une puissance
supérieure, qu'on l'appelle Dieu ou d'un autre nom, de laquelle on s'approche
de différentes manières. Pour elles bouddhistes, musulmans, païens,
chrétiens, etc. ont chacun leur propre chemin qui aboutit au même but.
Les religions et l'Évangile
Le contraste entre les religions et l'Évangile se trouve
dans le mauvais diagnostic que les religions établissent au sujet de l'homme.
D'après elles, chacun possède une réserve potentielle qu'il lui suffit de
développer. Elles nous font espérer que, par divers moyens (réincarnation,
ascétisme, pèlerinages, bonnes oeuvres, souffrances), nous parviendrons à la
perfection. Elles ignorent toutefois la racine des maux de l'homme: le péché,
et son état de mort morale devant Dieu. Il n'y a point de remède contre la
mort et par conséquent, les méthodes humaines ne sont d'aucun secours
L’Évangile trouve l'homme sans
ressource, sans force, mort dans ses fautes et dans ses péchés. Il faut
souvent longtemps pour que l'être humain réalise qu'il ne peut s'en sortir
par lui-même. Fatigué de ses recherches, de ses efforts, déçu des autres,
déçu de lui-même, il s'écrie:
Ô Dieu, si tu existes, révèle-toi à
moi! Devant la grandeur et la sainteté de Dieu, on ne peut que dire, comme Ésaïe : « Malheur à moi! car je suis perdu » (Ésaïe 6, 5). Le péché fait séparation d'avec le Dieu
juste et saint et aucune religion ne peut prétendre absoudre le pécheur,
pardonner ses péchés et lui donner la vie éternelle.
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« Qui peut pardonner les péchés, sinon
un seul, Dieu ? » Jésus, parce qu'il est Dieu, a dit: «Le Fils de l'homme a
le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés» (Marc 2, 7, 10), Voilà
l'Évangile, la bonne nouvelle! « Christ est mort pour nos péchés... et il a
été ressuscité » (1 Corinthiens 15, 3, 4). « Quiconque croit en lui reçoit la
rémission [le pardon] des péchés » (Actes 10, 43). « Qui croit au Fils a la
vie éternelle » (Jean 3, 36).
L’oeuvre de notre salut n'est pas à
faire, ni à parfaire, elle est faite. C'est une oeuvre d'amour accomplie une
fois pour toutes à la gloire de Dieu et pour la délivrance de l'homme.
« Dieu, qui est riche en miséricorde,
à cause de son grand amour dont il nous a aimés, alors même que nous étions
morts dans nos fautes, nous a vivifiés ensemble avec le Christ... Car vous êtes
sauvés par la grâce, par la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don
de Dieu ; non pas sur le principe des oeuvres, afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2, 4, 5, 8, 9).
Jésus Christ est le seul chemin pour
aller au ciel :
« Je suis le chemin, et la vérité, et
la vie; nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14, 6).
Jésus Christ est le seul moyen pour
être sauvé :
« Il n'y a point d'autre nom sous le
ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faille être sauvé » (Actes 4, 12).
Jésus Christ est le seul médiateur
entre Dieu et les hommes :
« Car Dieu est un, et le médiateur
entre Dieu et les hommes est un, l'homme Christ Jésus, qui s'est donné
lui-même en rançon pour tous » (1 Timothée 2, 5, 6). « Repentez-vous et
croyez à l'évangile » (Marc 1, 15). « L'évangile est la puissance de Dieu en
salut à quiconque croit » (Romains 1, 16).
Vous posez alors la question :
qu'adviendra-t-il de tous ceux qui n'ont pas entendu l'Évangile ?
« Le juge de toute la terre ne
fera-t-il pas ce qui est juste ? » (Genèse 18, 25).
Dieu jugera chacune de ses créatures
selon sa parfaite justice.
Aujourd'hui Dieu vous appelle. Venez à
Lui par Jésus Christ, ne tardez pas ! Refuser son invitation vous expose au
jugement éternel. Le Seigneur Jésus va revenir, « voici, c'est maintenant le
jour du salut » (2 Corinthiens 6, 2).
Aujourd'hui Jésus t'appelle.
Sa grâce est un libre don;
Il jugera le rebelle
Qui refuse son pardon.
Oh! viens au Dieu qui
pardonne,
Tu trouveras le bonheur.
Dieu ne repousse personne!
N'est-il pas le Dieu
Sauveur?
Tel que je suis, sans rien à
moi,
Sinon ton sang versé pour
moi
Et ta voix qui m'appelle à
toi,
Agneau de Dieu, je viens, je
viens!
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